TEMOIGNAGES DE PELERINS PIEUX

 

«Ici on fera bâtir un monastère…!!!»

 

Sophie M., mère du berger Spyridon M., qui possédait de la bergerie où s’est installée la Fraternité du Saint, était elle aussi, pendant qu’elle vivait, bergère de moutons. Elle a vécu 100 ans et elle avait l’esprit éclairé. Et disait alors la mémorable Sophie M. à propos de l’endroit actuel de Saint Raphael «Ici on fera bâtir un monastère…!» et quelques ans après, ses paroles sont devenues réelles.

Beaucoup de chrétiens, en passant par la rue du Cimetière de Saint Dimitrios de Ano Souli et en regardant vers l’endroit où se trouve actuellement la Fraternité de Saint Raphael, y voyaient une lumière qui partait du mont d’en face et arrivait au point où se trouve actuellement le Saint Monastère. Habitant à Marathon, madame Marie G. a mentionné aux frères qu’il y a peu d’ans, lorsqu’elle passait par la route du Cimetière, elle voyait une lueur partant du mont d’en face et arrivant au point où se trouve actuellement la petite église de Sait Raphael. L’habitant de Grammatiko Monsieur Kostas M. a fait également la même description aux frères, en mentionnant: «Lorsqu’on descendait à Marathon, mes parents voyaient une lueur de la montagne d’en face aboutissant au point actuel du Saint et ils la voyaient tout au long de la journée, jour et nuit.»

 

«La Guérison miraculeuse par le Glaucome Juvénile»

 

M. Kiki M. a envoyé à la Fraternité une lettre concernant sa fille Stavroula, âgée de 25 ans et étudiante à l’Ecole Vétérinaire de Thessalonique. Dans la lettre en question elle a écrit les suivants:

D’après Stavroula, en hiver 1998, elle avait mal aux yeux et ne voyait pas bien pour faire sans problèmes ses devoirs. En juin 1998, à la fin de l’année universitaire, elle est rentrée à la maison de ses parents à Halandri d’Attique et s’est rendu chez son ophtalmologiste Monsieur G. S. et celui-ci lui a recommandé un médicament, en lui disant qu’il l’examinerait de nouveau à la fin d’août. Dans cet intervalle de temps et jusqu’à la visite suivante chez son ophtalmologiste, elle voyait que l’état de ses yeux s’aggravait, malgré le médicament qu’elle prenait. Après la fin d’août, elle est allée chez l’ophtalmologiste qui l’a examinée plus minutieusement et s’est rendu compte que la jeune fille était atteinte du Glaucome Juvénile. Il lui a conseillé de procéder à l’examination des champs visuels, qui a montré l’œil gauche n’était propre que dans le centre alors que le reste de l’œil était couvert d’un toit, tandis que l’œil droit n’en était couvert qu’à moitié. Le 2 septembre, jour de fête pour la Fraternité de Saint Raphael, on a visité en famille le lieu d’apparition du Saint Raphael pour s’y prosterner et le prier de tout cœur de nous aider. Le frère Raphael m’a donné un bout de coton imprégné de l’huile de la bougie toujours brulante du Saint et m’a dit de faire le signe de la Croix sur les yeux de Stavroula tous les jours.

Nous en sommes partis et dès lors Stavroula mettait sans interruption de l’huile sur ses yeux. La grâce de Saint Raphael l’a conduite à l’Hôpital Général d’Athènes, où travaillait le Médecin spécialisé aux glaucomes, M. G. G. Quelques jours plus tard nous lui avons rendu visite et il a examiné très minutieusement les yeux de Stavroula. Il a constaté qu’il ne pouvait en aucun cas comprendre comment avaient apparu dansles analyses précédentes les ombres au champ visuel, vu que les nerfs visuels n’avaient aucun problème. Le Médecin a recommandé une nouvelle e un nouvel examen des yeux et voilà l’inespéré! L’œil droit était complètement nettoyé tandis qu’à l’œil gauche les ombres avaient été presque éliminés. On ne pouvait croire à ce qu’on entendait et on vivait. Saint Raphael avait fait un miracle pour nous! Le lendemain, nous nous sommes rendus en famille chez le Saint pour se prosterner et glorifier sa Grâce. Τοus ensemble avec les frères, qui s’en sont réjouis comme nous d’ailleurs, avons remercié le Saint en se prosternant devant Lui.

Vers la fin septembre, Stavroula est rentrée à Thessalonique pour ses études. Un jour, se trouvant dans le préau de l’Université entre co-étudiants et co-étudiantes, elle racontait sa guérison par l’intervention de Saint Raphael. Une de ses co-étudiantes, pour autant, a contesté la vérité des évènements et disait que tout cela n’était dû qu’à des coïncidences et des fantasmes. Toutefois, la même nuit Saint Raphael a apparu dans son rêve et lui a demandé: «Pourquoi tu en doutes? Me voilà devant toi. Maintenant tu crois en mon existence?». Le lendemain matin, l’étudiante en question est allée rencontrer Stavroula en pleurant avec des sanglots. Elle lui a expliqué ce qui lui était arrivé, en répétant sans cesse «Je crois, je crois».

Un an plus tard, Stavroula a répété l’examen des champs visuels et on a encore une fois constaté que l’état de ses yeux restait tout à fait stable.

Après tout cela, toute la famille remercie et glorifie quotidiennement Saint Raphael et ceux qui sont avec lui, Nicolas et la Martyre Vierge Irène.

 

«… Moi, j’ai écrit à propos de Saint Raphael mais on ne m’a pas cru…»

 

Avec sa lettre adressée vers la Fraternité, l’élève Cyprianos I. mentionne les ci-dessous:

«Mon Géron respecté, je suis issu de la ville Lovets de Bulgarie et je suis venu en Grèce. J’ai douze ans, j’habite place Koliatsou à Athènes et je suis en 6e. J’ai été baptisé Chrétien Orthodoxe et on m’a donné le nom Cyprianos contre mon prénom slave initial Krashimir.

Depuis longtemps, j’avais un problème grave avec mon œil droit, par lequel je ne voyais presque pas du tout. Un jour ma mère, ma marraine et moi avons visité le Monastère de Saint Raphael à Ano Souli de Marathon. Et c’est là que ma mère a mentionné le problème de mon œil au Géron de la Fraternité. Ce dernier m’a donné un morceau de coton imprégné d’huile par la bougie du Saint et m’a recommandé de prier avec une foi profonde et de faire le signe de la croix sur mon œil mi- aveugle.

Dès lors, j’ai fait tout ce que le Géron m’a recommandé et presque quinze jours plus tard, je me suis rendu compte que je pouvais voir clairement même les lettres dans les films de la télé. Jel’ai dit à ma mère qui, les larmes de joie aux yeux, a accouru au Saint Raphael pour le remercier. Moi, je n’ai pas encore pu aller à Ano Souli pour le remercier, parce que je vais à l’école, tandis que mes parents travaillent même le dimanche.

Il y a quelques jours on nous a dit d’écrire une dissertation sur notre avis personnel concernant la religion. Moi, j’ai bien écrit à propos de l’aide que Saint Raphael m’avait donnée mais les professeurs et le directeur du collège ne m’ont pas cru. Ils ont invité ma mère pour lui demander si je mentais ou si tout cela n’était que des fruits de mon imagination. Ma mère pour autant, toute indignée, les a assurés que le miracle du Saint envers moi était une réalité!»

 

Elle priait avec chagrin et ardeur

 

Un après-midi, Monsieur A.K. accompagné par sa fille est arrivé en toute hâte du village voisin Grammatiko d’Attique, dans le but de se prosterner devant le Saint. Il voulait Le remercier pour la guérison subite et inespérée de sa femme qui souffrait d’une maladie gravissime de ses os. La patiente en question était hospitalisée dans l’hôpital KAT de Kifissia et allait se faire opérer. La veille, alors, de l’opération elle priait avec chagrin et ardeur, en suppliant la Théotokos de l’aider. Soudain, alors que ses yeux étaient troublés par les larmes, elle découvre à côté de son oreiller une petite icône des Saints Raphael, Nicolas et Irène. Désespérée, elle adresse des supplications ferventes à Saint Raphael pour qu’il vienne en aide Lui aussi. Le lendemain matin, les chirurgiens ont constaté, à leur grande surprise, la guérison de la patiente et, au lieu de procéder à l’opération, lui ont permis de quitter l’hôpital. Ils n’ont pas pu donner des explications pour cette guérison inespérée. Toutefois, l’ex-patiente connaît très bien qu’elle doit sa santé à Saint Raphael et L’en remercie de tout son cœur.

 

Elle a monté les marches comme si elle était une jeune adolescente.

 

Un jour quotidien, Mme Th. Z. visite la Fraternité pour se prosterner devant le Saint. En raison de son âge avancé et de la maladie de ses pieds, elle a du mal à marcher, alors qu’il lui est complètement impossible de monter deux marches basses de l’escalier. Alors, son époux, pour l’encourager, lui dit d’essayer de les monter, parce que Saint Raphael va l’aider. Et elle, bien encouragée, en essayant d’avancer, soudain elle ressent une grande puissance! Elle a monté les marches comme si elle était une jeune adolescente, s’est prosternée devant le Saint, a prié et, en prenant congé elle descendait de la petite église du Saint comme si rien ne l’entravait! Le Saint avait de nouveau fait son miracle!!!

 

«Μοi, mon Saint, tu m’as oublié?»

 

Mme Magda T. a envoyé une lettre à la fraternité, dans laquelle elle mentionnait que, quand elle avait visité lemonastère, elle a ressenti de l’appréhension et de la réjouissance pendant qu’elle se trouvait devant le rocher de pèlerinage de Saint Raphael. A un certain moment elle a crié: «Μοi, mon Saint, tu m’as oublié». Bien sûr, elle parlait des difficultés qu’elle affrontait à son travail. Plus tard, elle s’est rendu compte que le Saint lui procurait Sa bénédiction pas par rapport à sa profession mais concernant un sujet plus important comme l’était la guérison d’une maladie d’une de ses personnes intimes, qu’elle aime plus que sa vie. Comme l’a raconté elle-même, «Un des frères m’a donné du coton imprégné par l’huile de la bougie de Saint Raphael qui brûle jour et nuit. Un de mes proches intimes avait dans la narine du nez une petite tumeur et le Médecin lui a dit qu’il avait besoin de se faire opérer. Tout de suite après la prosternation chez Saint Raphael, je lui ai tamponné de l’huile béni du Saint. Le lendemain matin, il s’est mis à éternuer et la grâce du Saint lui a fait sortir la tumeur par la narine de son nez. En l’examinant, le Médecin est resté stupéfait, car là où il avait dépisté le problème, il a constaté qu’il n’y avait aucune trace de la tumeur».

 

Traitement d’une tumeur maligne

 

Lors d’une de ses visites, Monsieur E. M. emmène avec lui pour se prosterner devant Saint Raphael Aikaterini P., car elle souffrait d’une tumeur maligne et quelques jours plus tard elle allait se faire opérer. Les frères, après avoir adressé une Prière à Saint Raphael, lui ont donné un petit morceau de coton imprégné par l’huile de la bougie du Saint qui brûlait jour et nuit. Quelques jours après, Mme Aikaterini s’est rendue de nouveau chez le Saint et a informé les frères que, dès le jour où ils lui avaient donné l’huile, elle le mettait là où elle allait se faire opérer. Le jour où était fixée l’opération, les médecins ont constaté que la tumeur avait disparu. Dès lors, Mme Aikaterini est une des pèlerins fidèles de Saint Raphael.

 

Elle est grande Ta Grâce, mon Saint!

 

Monsieur Georges A. écrit dans sa lettre à la Fraternité qu’après une visite au Saint Monastère, pendant qu’il prenait sa douche, il a aperçu sur le côté droit de sa poitrine une verrue. A mesure que les jours passaient, il a vu qu’elle allait grandissant. Cela l’a fortement inquiété. Il est allé chez son médecin qui lui a conseillé de l’enlever le plus vite possible car de tels cas éveillent des soupçons. Il s’est décidé à suivre la recommandation du médecin mais avant tout il désirait prier auprès de Saint Raphael. Dès qu’il s’est rendu au Saint Monastère et après s’être prosterné et prié devant le Saint, il a reçu la bénédiction du Géron, qui lui a offert un bout de coton imprégné de l’huile de la bougie qui brûle jour et nuit chez le Saint. Il en appliquait quotidiennement sur la poitrine, là où se trouvait la verrue, en attendant l’intervention chirurgicale. Un après-midi, pendant sa douche, la verrue s’en est détachée, sans qu’il ne la touche et sans laisser aucune trace sur la peau. Dans sa lettre il concluait en disant que cet incident avait prouvé la puissance de la Grâce de Saint Raphael. Dès lors, il rend visite et se prosterne souvent devant le Saint et recommande vivement ses amis et ses proches de l’imiter.

 

J’ai vu Sainte Irène comme elle est représentée sur son icône

 

Αvec sa lettre adressée à la Fraternité, Marianthi P. voulait faire savoir le témoignage ci-dessous.

«Le soir du Mercredi Saint, j’ai été atteint par une fièvre élevée suivie des frissons. Cela s’est poursuivi pendant le Jeudi Saint et le Vendredi Saint et est allé s’aggravant. La nuit du Vendredi Saint vers 23:45, comme je ne pouvais dormir, j’ai pris entre les mains l’icône de Saint Raphael et de ceux qui sont avec Lui et, m’adressant à Sainte Irène, je disais: «Ma Sainte Irène, viens me rendre visite». Je la priais sans cesse. Après un certain moment, je me suis endormie et j’ai rêvé de Sainte Irène comme elle est représentée sur son icône, aux cheveux dorés, de même taille que moi, portant sa robe blanche longue. Elle m’a invité à me promener avec elle. J’ai vu en vision que nous nous sommes trouvées dans un endroit similaire à celui où est situé le Monastère de Saint Raphael à Ano Souli de Marathon. Je lui ai demandé comment elle se sentait pendant le martyre. Elle m’a répondu qu’elle n’avait pas du tout eu peur car elle était protégée par Dieu.

A ce moment-là, je me suis réveillée. Je me sentais très joyeuse et tranquille. J’ai tout de suite raconté l’incident à mes parents et, plus tard, à la première occasion donnée, à mon confesseur. Apres cet incident, la maladie a commencé à disparaître progressivement, jusqu’au moment où j’ai complètement guéri.

J’ai bien sûr remercié de tout cœur Sainte Irène qui a répondu à ma prière de la connaître de près et j’ai visité le Monastère de Saint Raphael à Ano Souli pour me prosterner devant les Saints».

 

La guérison miraculeuse de paralysie de main

 

Mme Efi P. a envoyé une lettre à la Fraternité dont le contenu est le suivant:

«Je voudrais vous mentionner moi aussi un incident qui m’est arrivé. J’ai visité le Monastère de Saint Raphael à Ano Souli pour me prosterner devant Sa Grâce et Le prier d’intercéder auprès du Seigneur pour ma santé. Vu que je suis Sculptrice et Céramiste, le bras droit est souvent soumis à une fatigue excessive. En conséquence, je souffrais par des douleurs terribles et petit à petit, le bras a été complètement endommagé, s’est engourdi et a fini par devenir insensible. Je l’ai enveloppée dans un bandage et je l’ai accrochée à l’aide d’une attelle par le cou. Les médecins auxquels je me suis refugiée, m’ont découragée en disant qu’il n’y avait pas de traitement et que, par conséquent, je devrais m’habituer à vivre seulement avec le bras gauche. Emportée par une foi profonde et pleine de larmes, j’ai prié Saint Raphael d’intercéder pour moi auprès du Seigneur. Toute émue, je suis partie de la Fraternité pour aller chez moi. Il était déjà après-midi et, soumise à mes terribles douleurs, j’attendais que les heures difficiles passent, jusqu’à ce qu’il fasse jour. A l’aube je me suis rendu compte tout au hasard que le bras n’avait plus de problème et qu’il avait guéri. Désormais, je n’y ai jamais eu d’autre gêne et je pense que je dois cette guérison à la médiation de Saint Raphael que je respecterai tout au long de ma vie».

 

« …Μοi, je suis toujours là… »

 

Mme Vagia P. a raconté à des membres de la Fraternité les suivants: «dans mon rêve, j’ai vu que j’étais à Ano Souli, dans la cour du Monastère de Saint Raphael, près de l’entrée, me promenant dans le couloir betonné et me dirigeant vers l’escalier qui conduit à la chapelle de Saint Raphael. Soudain, devant moi, à une petite distance j’ai vu une fillette avec un doux visage tout brillant. Je lui ai ditː «Salut, ma petite, je suis venue me prosterner devant Saint Raphael. Toi, qui es-tu? » Et la fillette m’a réponduː «C’est moi, Irène». Εt je lui ai repondu toute étonnée: «Irène? Mais quelle Irène? Sainte Irène? Où habites-tu?» La fillette, en me montrant la petite église, m’a dit: «Là-bas». Je lui ai demandé quand je pourrais venir la revoir et me prosterner et elle m’a répondu «Moi, je suis toujours là» et dès qu’elle a terminé sa phrase, elle a disparu. Quand je me suis réveillée et je me suis remise du grand étonnement, je me suis rendu compte que la fillette n’était autre que la Sainte Martyre Vierge Irène qui avait fait son apparition dans mon rêve.

 

« …je lisais tout le temps l’Apolytikion de Saint Raphael… »

 

Mme Valsamo F. a envoyé à la Fraternité de Saint Raphael la lettre ci-dessous:

« Dans le but de faire graver indélébilement à travers les siècles mon témoignage pour la bénédiction que le Seigneur m’a offerte avec l’intercession de Saint Raphael, je dépose avec la présente lettre tous les grands incidents miraculeux qui me sont arrivés. Vers la mi-décembre, j’ai commencé à ne pas me sentir en bonne santé, c’est pourquoi j’ai consulté un médecin. Ce dernier m’a recommandé de faire une série d’analyses pour pouvoir dépister ce qui m’arrivait. Je me suis précipité de me soumettre à ces analyses médicales, afin de gagner du temps en vue des fêtes de Noël et du Nouvel An au cours desquelles les médecins sont toujours absents. D’après les analyses, on a constaté que mon hématocrite était en baisse dangereusement verticale. En même temps, dès le début de janvier, j’ai commencé à souffrir de fortes douleurs à la partie droite de la poitrine qui présentait un œdème rapidement croissant. Le médecin qui me surveillait poursuivait ses recherches scientifiques avant de faire son diagnostic. Entretemps, les douleurs et l’œdème persistaient, voire devenaient plus forts.

Mon seul espoir et refuge étaient la prière et mes implorations vers la Grâce divine pour venir à mon aide. Pour me renforcer et pouvoir ainsi supporter les douleurs, je lisais presque tout le temps l’Apolytikion de Saint Raphael et je le priais de tout mon cœur d’intercéder auprès de notre Seigneur pour ma guérison. En même temps, un des frères du Monastère de Saint Raphael à Ano Souli de Marathon m’a donné un bout de coton imprégné d’huile par la bougie du Saint qui brûle jour et nuit. Je le passais chaque jour sur la partie endolorie de la poitrine en faisant le signe de la Croix et c’est ainsi que la Grâce miraculeuse du Seigneur et de Saint Raphael a fait de Son miracleː la Troisième fois que je l’ai appliqué sur la poitrine en faisant le signe de la Croix, la douleur a cessé de me torturer. Cela m’a encouragé à poursuivre plus intensément les prières et mes implorations, alors que je ne cessais de tamponner sur ma poitrine le bout de coton avec l’huile bénie en y faisant toujours le Signe de la Croix. Petit à petit, les douleurs ont disparu, l’œdème s’est dissipé, les médecins poursuivaient leurs examens mais moi je me sentais en excellente santé dès la mi-mars, pour la gloire de Dieu, de notre Seigneur Jésus Christ et de Ses Saints Raphael, Nicolas et Irène et à la grande surprise des scientifiques pour l’inexplicable de ma guérison sans l’aide de la science».

 

«C’est moi, Raphael !!!»

 

M K.G a visité le Monastère Sacré et a mentionné aux frères l’incident suivant:

« Je suis propriétaire d’une cafétéria à Pendéli et, un soir, j’ai vu un moine de grande taille y entrer et aborder le banc où j’étais assis et m’a demandé un verre d’eau. Après le lui avoir donné, il m’a dit: "C’est moi Raphael. Tu viendras chez moi à Ano Souli pour me prosterner et tu seras guéri". Je l’ai dit à ma femme et ensemble nous nous sommes mis à chercher Ano Souli et la maison du Saint. On cherchait bien longtemps. En demandant çà et là, nous sommes arrivés à un certain moment chez vous et dès que j’ai vu le Saint sur l’Icône se trouvant dans votre petite église, je me suis rendu compte que c’était la même figure qui avait apparu dans mon magasin ».

Après avoir prosterné devant le Saint et raconté aux frères les ci-dessus, il s’en est allé. Quelques jours plus tard, il a contacté les frères pour confirmer que Saint Raphael avait guéri son fils et lui par le cancer dont tous les deux souffraient.

 

«…C’est moi qui te guérirai…»

 

Madame M. Z qui habite à Kapandriti souffrait de cancer. Quand elle a visité le Monastère de Saint Raphael, elle a raconté aux frères que, pendant l’opération chirurgicale, elle a vu sur un endroit rocheux Saint Raphael la bénissant et lui disant " C’est moi qui te guérirai. Viens me rendre visite". Et Mme M. Z. a continué en disant «Depuis lors j’étais à la recherche de cet endroit rocheux où le Saint avait apparu devant moi. Quand j’ai vu Saint Raphael sur le rocher, tel qu’il est ici à Ano Souli, je me suis rendu compte que ceci était l’endroit d’où il m’avait béni et j’ai guéri».

 

Guérison miraculeuse de cancer de prostate

 

Mme Maria a visité le Monastère de Saint Raphael et a demandé de l’huile bénie par la bougie de Saint Raphael, parce que son mari souffrait de cancer de prostate et qu’après l’opération il n’allait pas bien. En effet, les frères lui en ont donné et dès que le patient a tamponné l’huile bénie sur la partie endolorie, il a trouvé son traitement.

 

Pas fini. Εn cours de construction !!